Ecologie et végétarien : l’impact environnemental du végétarisme ?
S’il y a bien une question qui préoccupe tous les gouvernements du monde aujourd’hui, c’est celle de la préservation de la nature.
En effet, dans chaque région du monde les gens se conscientisent et invitent les uns et les autres à changer de mode de vie.
C’est de cette prise de conscience que vient la popularité des régimes alimentaires végétariens.
Quel est le véritable impact du végétarisme sur l’environnement ?
Le végétarisme : état des lieux
Le végétarisme a été longtemps perçu comme un régime alimentaire ironique pratiqué par une certaine catégorie de personnes.
Pourtant, avec tous les débats actuels qui sont faits autour de cette question de préservation de l’environnement, ce dernier a su démontrer qu’il sera très utile à l’humanité.
D’après une étude scientifique réalisée récemment sur le sujet, on a d’ailleurs pu constater une nette augmentation des personnes végétariennes dans le monde.
Cette étude a aussi permis de montrer que la consommation de la viande et des produits dérivés a nettement baissé.
Une opération qui n’est cependant pas sans effets positifs sur l’environnement.
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Le végétarisme et son impact positif sur l’environnement
Comme vu précédemment, le végétarisme est un régime alimentaire qui présente plusieurs avantages.
Lutte contre les gaz à effet de serre
Lorsqu’on parle de réchauffement climatique, il est presque impossible de ne pas parler de gaz à effet de serre.
Émis par des véhicules, mais aussi par l’élevage d’animaux, ces gaz sont à l’origine d’un grand nombre de problèmes environnementaux, dont la destruction de la couche d’ozone.
Un fait qui a d’ailleurs été prouvé par un rapport de l’ONU qui atteste que l’élevage animalier de consommation produit 18 % des gaz à effets de serre présents dans l’atmosphère.
En adoptant un régime végétarien, l’homme peut ainsi réussir à diminuer cette production de gaz à effet de serre qui ne cesse d’augmenter.
Selon des revues médicales axées sur la question, cette réduction pourrait atteindre l’ordre des 84 %.
Ceci permettrait donc de freiner la destruction de la couche d’ozone et de sauvegarder cet héritage qu’est la Nature.
La conservation de la flore
On ne peut faire un élevage d’animaux sans nourrir ces bêtes.
Pourtant, ces actions de nutrition sont un préalable au phénomène de déforestation.
En effet, pour installer des abris pour leurs brebis, les hommes sont obligés de couper et de brûler des arbres.
Une action qui n’est pas sans conséquence sur l’environnement.
La flore absorbant une grande partie du CO2 qui est un gaz à effet de serre, il est indispensable que cette dernière reste en place.
Ainsi, si tout le monde adoptait un régime végétarien, l’humanité réduirait de 76 % l’exploitation de ces surfaces de sol arables.
Ce qui favoriserait le reboisement des forêts.
La préservation des cours d’eau
Le végétarisme offre aussi la possibilité à l’homme de protéger ses cours d’eau.
Ce mode de vie permettrait de réduire, et cela, de façon considérable, l’impact de l’industrie de l’élevage d’animaux sur la pollution des eaux.
Ceci donnera en effet l’occasion à l’homme de réduire l’action des substances chimiques comme l’azote ou le phosphore qui sont produits par ce secteur d’activité.
En plus de limiter la pollution des eaux, ce mode de vie réduirait sa consommation.
Grâce à ce concept, l’homme parviendra ainsi à préserver sa biodiversité.
Bien que l’impact de ces régimes végétariens soit très positif, ceux-ci peuvent présenter des inconvénients.
En effet, en adoptant ce mode de vie, l’homme prend également la responsabilité de produire plus de plantes et d’arbres fruitiers.
Une ruée vers l’agriculture qui doit être donc contrôlée pour éviter les débordements comme la destruction des arbres.
Pour éviter d’en arriver là, il est très important de rester dans la juste mesure des choses et de garder à l’esprit les nombreux avantages du végétarisme sur l’environnement.
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